
C’EST SOUVENT ÇA LA JUSTICE – MATA HARI
La danseuse hollandaise fut engagée pour l’espionnage de Guillaume II.
En 1917, André Monet, substitut du Procureur d’Etat, expédiera en 3 jours l’espionne vers le peloton d’exécution, après un procès expéditif et sans preuve véritable.
Plus tard, Monet avouera: « Au fond il n’y avait pas de quoi fouetter un chat ».
Le Président Raymond Poincaré refusa la grâce de Mata Hari.





